On ne peut pas partir faire du vélo toute la journée… 
et mijoter des bons petits plats !
Voici donc aujourd’hui un poème écrit par « mon poète de Mari » 
AU PETIT BONHEUR LA CHANCE
AUJOURD’HUI POUR SE MARIER
C’EST VRAIMENT TRES COMPLIQUE.
AVANT DE SE DONNER LA MAIN
LES GENS FONT DES TAS D’MACHINS.
MON GRAND-PERE QUI A VECU
AURAIT DIT : « TURLUTUTU,
AU PETIT BONHEUR LA CHANCE
COURS LES BALS DU DIMANCHE
TU FINIRAS BIEN PAR TROUVER
UNE BOURGEOISE A EPOUSER ».
POUR TROUVER UN BON BOULOT
C’EST VRAIMENT PAS RIGOLO.
POUR EN DEGOTER UN
LES GENS D’VIENNENT DE VRAIS CHIENS
MON GRAND-PERE QUI A VECU
AURAIT DIT : « TURLUTUTU,
AU PETIT BONHEUR LA CHANCE,
RETROUSSE TOI LES MANCHES
ET ELLE SERA BIENTOT FINIE
LA SEMAINE DES QUATRE JEUDIS ».
ENFIN L’HEURE DE LA RETRAITE
LE BONHEUR EST DANS LA TETE
ON TE DIS « MON POV’ GARCON
Y A PLUS DU TOUT DE POGNON ».
MON GRAND-PERE QUI A VECU
AURAIT DIT : »TURLUTUTU,
AU PETIT BONHEUR LA CHANCE,
PREND LA ROUTE DE L’ESPERANCE
ET SANS DOUTE QU’EN CHEMIN
LE BONHEUR TE DONNERA LA MAIN ».
GB.
Septembre 2010
* Photo Internet
Bravo au « poète » de mari ! 😉
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Un poème mignon mais qui reflète bien les choses de la vie actuelle.
Cela dit, je fais du vélo et je pose mon tablier, ou je pose le vélo et je prends la manique !
Bonne journée
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J’adore!
Bises et bon lundi,
Rosa
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GB…toujours aussi poète ! Elle en a de la chance !!! 😆
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j’aime beaucoup ce poème plein de fraicheur et de vérité ! ma maman Toscane aurait dit la même chose, en italien bien sur ! j’ai cru un moment que c’était elle qui me parlait…. juste à la place de turlututu elle aurait dit « fatti corraggio »….. Merci !
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